Anne Devillers Kinésithérapeute Liège

un peu de moi!

25/08/2019
anne devillers, kinésithérapie, grâce-hollogne, Jemeppe

Bonjour à tous!

 

la nouveauté pour cette rentrée 2019 – 2020 est de lancer mon petit site web.

Dans quel but?

Tout d’abord, simplement pour vous informer des modalités concernant mon activité de kinésithérapeute car, certains habitués le savent, j’ai plutôt la bougeotte donc des nouveautés sont assez fréquentes.

Deuxièmement, je remarque que la majorité de mes patients sont très curieux concernant la santé en général et parfois mal informés ou perdus parmi toutes les informations qui leur parviennent. Du coup, je me suis dit qu’avoir un « blog » pourrait vous aider à mieux comprendre certaines pathologies, informations médicales, obtenir les nouveautés en terme de traitement ou différents conseils d’un professionnel de la santé. Puis à côté de cette envie, je suis comme vous au final! Curieuse sur une multitudes de sujets donc autant se faire plaisir!

 

Me concernant…

 

En dehors de mon parcours professionnel et scolaire (que vous pourrez découvrir dans l’onglet « parcours » ), j’avais envie d’un peu me dévoiler afin que vous connaissiez mieux la personne qui vous soigne, manipule, aide, vous écoute et j’en passe ;-).

Par où commencer?

Peut-être vers la voie qui m’a le plus guidée en kinésithérapie c’est-à-dire le sport. J’en fait depuis toujours et je dois dire que cette envie de bouger, je le dois à ma mère qui est enseignante en éducation physique en haute école. Je me rappelle qu’elle nous prenait (mon frère et moi) avec elle pour jouer avec ses élèves au kin-ball, au badminton, au basket, au frisbee… lorsque nous avions des congés pédagogiques. A côté de ça, comme bon prof de gym qu’elle se doit d’être, notre éducation (surtout l’été) fut tournée vers les stages sportifs. Le CEREKI, peut-être inconnu pour certains, est un organisme qui s’occupe de la psycho-motricité chez le jeune enfant dans le domaine du blanc gravier au Sart-Tilman. Je pense qu’on a fait toute notre jeune enfance chez eux et que ma polyvalence envers tous les sports vient de là. Ensuite, le moment de choisir un sport qu’on aime est arrivé, vers l’âge de 8 ans, ma mère nous a proposé de nous mettre au badminton qui m’a plu jusqu’à l’âge de 13 ans. Encore une fois, ma polyvalence m’a fait défaut et la hargne de la compétition toujours absente ne m’ont pas permis de m’accrocher à fond dans un seul sport. Il est vrai que j’ai jamais été très « compétition », ma vision du sport est plus axée sur le bien-être et sur un défouloir, une machine à plaisir très primaire au grand regret de mes entraîneurs je pense. J’ai découvert l’athlétisme de mes 13 à 15 ans: saut en longueur, triple saut et sprint furent mes disciplines préférées. A l’heure actuelle, je trouve toujours que c’est un sport magnifique et j’essaye de courir fréquemment pour entretenir mon endurance. Enfin! Ma faible endurance! Car je pense que j’ai toujours été quelqu’un de résistance et comme je l’ai dit ici plus-haut, si j’y retrouve plus de plaisir ou que je dois trop tirer dans mes réserves, je laisse vite tomber à vrai dire (et oui… chacun son rythme après tout!). En dehors de ces sports très terre à terre, mon père cette fois-ci (et ma mère pour tout ce qui est lié à la neige) m’a fait découvrir les plaisirs de la glisse: la voile dans un premier temps puis tout ce qui touche à la glisse et à l’équilibre en générale: planche à voile, ski, snowboard, skate-board, monocycle,… Je pense que c’est les sports où j’éprouve le plus de satisfaction, j’ai pas l’impression de donner de l’énergie face à ces sports (même si je crève de mal partout le lendemain matin) et j’éprouve un réel plaisir. Maintenant la logistique, le boulot et le train-train quotidien ne nous permet que très rarement de pouvoir faire ce type de sport (ou de vous dire bye-bye et ouvrir un cabinet à la côte ou en montagne, qui sait?). Bref, les vacances permettent de s’exécuter et de retrouver une banane d’enfer quand on peut les pratiquer.

Pour terminer ce chapitre sur le sport, je dois vous parler encore de deux sports qui ont eu, eux aussi une place importante car par leur spécificité, ils me représentent. Tout d’abord, la nage synchronisée, j’ai découvert ce sport à 16 ans. Etant relativement créative et artistique, ce sport de précision, de résistance et de coup bleu (et oui, quand vous nagez sous l’eau afin de vous regrouper pour faire un porté, je peux vous assurer qu’un coup de pied d’une autre nageuse n’est pas rare…. et involontaire surtout!) m’a fait découvrir un monde sportif fabuleux! Malheureusement, ayant une peur profonde de l’eau en compétition ou milieu hostile (j’imagine tous mes potes qui se foutent de ma gueule ainsi que mon ancien prof de sport à l’unif…) ne m’a pas permis de continuer ce sport vu que je renonçais à rentrer dans l’eau lors des compétitions. Bé oué, que voulez-vous on se refait pas! L’autre sport dont je vous parlais c’est le triathlon et lui, il évoque chez moi la polyvalence. Avec ce sport, il y a jamais moyen de vous ennuyer. Le seul hic, c’est qu’il prend beaucoup de temps dans votre vie et qu’il peut procurer des blessures si on n’est pas optimal sur sa répartition d’entrainement… Puis, quand on a d’autres hobbys à côté de ça et une jeune vie de couple qui s’installe, c’est difficile de tout cumuler. Mais quel défouloir génial…J’en garde vraiment de très bons souvenirs avec parfois des regrets vite oubliés par mes autres passions.

Anne devillers kiné jemeppe grâce-hollogne

moi en cours de couture ayant cousu un « avant » gauche avec une épaule droite…

En  dehors de cet amour pour le sport, j’ai un côté artistique-manuel non négociable avec leur présence dans mon existence. C’est-à-dire qu’il faut que je lui consacre du temps pour me sentir bien. Et entre nous, « s’écouter » c’est quand même très important dans une optique de guérison et de prendre soins de soi. Dans ma dernière année de kiné, j’avais, par hasard, réalisé ma robe de proclamation. Ce qui m’avait vraiment beaucoup plu. Depuis, je n’ai plus jamais raccroché la machine à coudre jusqu’à prendre des cours du soir en couture. Comme quoi, votre kiné n’a pas que la tête dans vos soins à ses temps perdus!

 

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